Spoiler si vous n’avez pas lu le
tome précédent !
Quatrième de couverture
Juillet 2018. Eva
Burnante a promis au patriarche de la riche et puissante famille Tourre de l’aider
à retrouver les cinq toiles de Justine Latour-Maupaz encore dispersées à
travers le monde.
Chaque seconde
compte, car la survie de l’empire Tourre est en jeu, mais aussi, et surtout, l’honneur
d’une dynastie meurtrie par les trahisons et les coups bas. C’est en fait l’équilibre
de la France entière qui est mis en péril.
La quête des
tableaux manquants de l’artiste fait entrer Eva dans une saga familiale
haletante, traversée d’amours intenses et de haines féroces.
Mon avis
Ayant adoré le
premier tome de la trilogie Bleu Blanc
Sang, je ne pouvais pas faire trop patienter les deux derniers tomes de la
série dans ma PAL. J’ai donc sorti ce 2e volume que j’ai dévoré en
un rien de temps. C’est toujours aussi bon, aussi intense, aussi génial avec
son lot d’action et de révélations pour notre plus grand plaisir. Mais quelle
frustration une fois arrivée à la fin mais je vous en reparlerai un peu après.
Comme pour le
premier tome, l’intrigue est bonne et bien menée, on sait à quoi s’en tenir, il
faut retrouver au plus vite les derniers tableaux qui composent la série des 12 travaux d’Hercule de Justine
Latour-Maupaz. Ce n’est pas une affaire simple car il faut savoir déchiffrer
les notes de l’artiste pour y trouver un quelconque indice afin de savoir où
pourrait se trouver les œuvres. Un vrai travail d’orfèvre pour remonter dans le
temps et essayer de débusquer ces toiles perdues depuis des siècles. Une course
contre la montre est engagée car la partie adverse est tout aussi déterminée à
détruire ces œuvres pour abattre la famille Tourre.
Nous sommes en
présence de personnages déterminés qui sont vraiment prêts à tout pour parvenir
à leur fin et cela ne fait que rendre ce livre encore plus haletant. On sent
que la situation est compliquée et qu’il faut être le plus rapide pour gagner
la partie, une partie qui nous met sous pression, sous tension à chaque
instant. J’étais vraiment à fond dans ma lecture, avide de savoir ce qui allait
se passer, s’ils allaient enfin mettre la main sur le St Graal pour que tout s’arrange.
Mais Bertrand Puard joue avec nos nerfs, il nous laisse espérer, fait monter la
tension encore un peu plus longtemps et ce, jusqu’à la fin du livre… de quoi
nous achever mais aussi nous faire vivre en même temps que ses personnages
cette quête qui semble impossible.
La fin est des
plus frustrantes, elle nous laisse sur une révélation… à laquelle je m’attendais
un petit peu – parce que les indices convergeaient dans ce sens mais ce n’est
que sur la fin que je m’en suis aperçue. Tout le long du livre je l’ignorais.
Il n’empêche que cela a fait son effet parce que c’est un
cliffhanger-de-la-mort-qui-tue et je n’aime pas qu’on me coupe dans mon élan
comme ça… Surtout que je n’avais pas prévu d’emmener avec moi le 3e
tome et que j’aurai vraiment aimé l’avoir pour savoir ce qu’il en est… De
nombreuses révélations sont présentes dans ce livre qui m’ont beaucoup surpris,
un tome riche en rebondissement et événement qui ne pourront pas vous laisser
indifférent. J’ai vraiment hâte de lire la suite pour savoir ce qu’il en est.
En bref, Blanc est un deuxième tome excellent, à
la hauteur de mes espérances et ça ne me donne qu’envie de poursuivre cette
histoire en me jetant sur le 3e tome. Mais je patienterai un peu
pour ne pas quitter cet univers tout de suite. Si vous ne l’avez pas encore
compris, il faut que vous lisiez cette trilogie qui en vaut vraiment la peine
parce qu’on nous emporte dans une affaire bien plus complexe qu’elle n’y paraît
et nous montre tout le talent de Bertrand Puard à écrire des histoires
incroyables. Lisez cette trilogie et si vous n’avez pas lu Les Effacés, il va falloir s’y mettre aussi !
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